Un spécialiste
des Arts déco, Max, qui a trois noms et un frère jumeau, un faux Vermeer
créé par un peintre juif du Vieux Strasbourg, une pension de famille de
la Côte d’Azur qui flambe avec sa directrice et d’autres incendies
fort mystérieux, la fidélité à une promesse faite à l’oncle Nathan,
le rêve d’une Fondation pour peintres réfugiés politiques, une tempête
historique au parc de Sceaux, une expo kitsch avec la Dentellière, l’Astronome
& Cie en mannequins de cire, un pasteur en roue libre qui fait un
miracle, et Estelle, qui n’y comprend vraiment plus rien entre le vrai
et le faux, le réel et le virtuel ; Estelle qui préfère la belle
Patricia au conformiste Vincent, et qui se trouve une famille auprès des
jumeaux Max et Jude, nés en 1937, tous deux un peu artistes, humanistes
et homos, riches de sagesse, de panache et de fantaisie. Dans ce roman, vous retrouverez l’ironie d’un
conte voltairien, parfois l’émotion d’un thriller, et en filigrane
une réflexion subtile sur l’art ; ainsi que le style très
personnel de Carole de Sydrac qui, après « Ciconia
ciconia », « La sœur du moine Philibert »
et « Tour-épurator », construit sans cesse des ponts
entre drame et humour, et entre l’art et la vie.
|
Quelques critiques de presse :
- Revue littéraire EUROPE
- HEBDOSCOPE
- EN ALSACE
- Le REPUBLICAIN LORRAIN
- REFORME
- L'EST REPUBLICAIN
- SPECTACLES à Metz,
Nancy, Dijon, Reims, Strasbourg
- POLYSTYRENE
- LES AFFICHES - MONITEUR
- LA MONTAGNE
- ECRIRE MAGAZINE
- LA REPUBLIQUE DES LETTRES
- STRASBOURG MAGAZINE
- DERNIERES NOUVELLES D'ALSACE
- FRANCE BLEU ALSACE &
ISERE
- NORD-EST-HEBDO
- ARTS...
|