Carole de Sydrac

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    D'arches, et d'alliances    

LA MONTAGNE

18 juillet 2002

Un spécialiste des Arts déco, Max, qui a trois noms et un frère jumeau, un faux Vermeer créé par un peintre juif du Vieux Strasbourg, une pension de famille de la Côte d’Azur qui flambe avec sa directrice et d’autres incendies fort mystérieux. La fidélité à une promesse faite à l’oncle Nathan, le rêve d’une Fondation pour peintres réfugiés politiques, une tempête historique au parc de Sceaux. Un pasteur en roue libre qui fait un miracle, et Estelle, qui n’y comprend vraiment plus rien entre le vrai et le faux, le réel et le virtuel ; Estelle qui préfère la belle Patricia au conformiste Vincent, et qui se trouve une famille auprès des jumeaux Max et Jude. Dans « D’arches, et d’alliances », vous retrouverez l’ironie d’un conte voltairien, du suspens, et surtout en filigrane une réflexion subtile sur l’art. Ainsi que le style très personnel de Carole de Sydrac qui, après « Ciconia ciconia », « La sœur du moine Philibert »  et « Tour-épurator », construit sans cesse des ponts entre drame et humour, et entre l’art et la vie.